« Mon histoire n’est pas comme toutes les histoires. Pas comme toutes ces histoires d’amour qui se termine bien et où tout le monde est heureux. Tout d’abord parce qu’elle n’est pas encore finie et que je ne peux prédire l’avenir. Il n’y a pas de happy end. Elle n’est pas faite pour les âmes sensibles. Mais c’est mon histoire et je vais vous la conter… »



Ce joli petit minois que vous voyez là est apparut sur cette Terre un 30 Juin il y a de cela une vingtaine d’année dans le fin fond du Saint Empire romain germanique (PAYS-BAS ^^) Mon père, un riche aristocrate avait épousé ma mère, une fille de politicien romain. Ce mariage marqua un peu plus les alliances faites entre les différentes nations. De ce mariage consommé naquit un jeune garçon, aux cheveux aussi noir que la nuit et au regard perçant et envoutant. Autant vous dire que j’ai grandis dans une famille aisée et où je n’ai manqué de rien. Enfin grandis… c’est un bien grand mot. Je n’ai pas réellement pu vivre une vie dite « normal ». Déjà tout petit, je me sentais différent des autres. Différent de ma famille, de mes parents, des autres enfants que je côtoyais. Je ne savais pas dire pourquoi mais il y avait ce petit quelque chose en moi qui me faisait être différent. Qui me faisait le sentir. Mais je le vivais bien, et même très bien. Jusqu’à mes sept ans.

Je m’en souviens comme si c’était hier. Comme si la scène s’était passée la veille. Les souvenirs sont restés ancrés en moi et j’en rêve encore aujourd’hui. Il faisait froid. La neige avait ensevelit la ville d’un épais manteau blanc et la nuit, aussi noire qu’un jet d’encre, avait pris place sur les cieux depuis déjà plusieurs heures. Nous étions, l’ensemble de la famille, des servantes, et des amis de la famille, réunis autour d’un bon feu, sur une large et longue table, pour un souper comme nous en faisions souvent. La fête battait son plein, je voyais le vin couler à flot sans pouvoir y gouter. J’étais trop jeune disait maman. Elle me disait d’aller jouer avec les filles de son amie de toujours. Qu’elles étaient belles et que de toute manière, j’étais destiné à en épouser une. Elles n’avaient qu’un an d’écart mais j’avais l’impression qu’elles étaient jumelles. Et déjà petit, je me souviens être tombé sous le charme enfantin de ses deux sœurs. La fête battait donc son plein et je faisais le tour de la propriété et des jardins de la famille quand soudainement, sans que je ne comprenne quoi que ce soit, nous fûmes transportés de force dans la grande salle de réception. Une dizaine d’individus armés d’épées et autres lames avaient encerclés le groupe que nous étions et commençaient déjà à tout saccager. La nourriture volait en éclat alors qu’ils consommaient notre vin et volaient les bijoux présents de part et d’autres de la demeure. Tout ce qu’il y avait de valeur était prit et les femmes étaient embarqués de force. Je ne savais pas encore à cet époque là qu’elles étaient violer et jetées comme des tas de viandes.

Sans savoir vraiment ce qui s’est passé à ce moment là, je sentis une vague d’énergie m’envahir. Quelque chose de profondément puissant et envoutant. Un flot d’énergie comme j’en avais rarement sentis jusqu’alors. La tristesse et la haine étaient grandes alors que je voyais mes proches se faire maltraiter pendant que nos ravisseurs s’en amusaient. Que pouvais-je faire ? Rien. Un enfant de sept ans ne pouvait absolument rien faire contre un adulte. Contre plusieurs adultes… Mais ne pouvant rester ainsi sans rien faire, et sentant l’envie me démanger d’agir pour sauver mes proches, je m’étais alors relevé, me détachant des bras de ma mère qui me serrait de toute ses forces contre elle. Avançant vers les hommes je les regardais un à un avec des yeux remplis de haine. Ils souriaient, riaient, s’amusant de la situation. S’amusant du fait que le seul être qui avait du cran pour bouger le petit doigt n’était rien d’autre qu’un enfant de sept ans. Me laissant dominer par la colère et sentant se flux d’énergie s’emparer de mon corps et de mon être, j’avais alors pensé fortement à leur mort et leur disparition et alors que l’un d’eux posa sa main sur moi, son corps se raidit et il s’écrasa violemment sur le sol. Plusieurs d’entre eux disparurent, volatilisés dans le néant, quand aux autres, ils s’écroulèrent à leur tour. Étant totalement vidé de mes forces, je m’effondrais sur le marbre de la salle de réception, les yeux révulsés et pris d’intense tremblement.

Le réveil survint plusieurs jours plus tard. Brutal. Je ne comprenais rien. Mes souvenirs étaient vagues et en même temps si précis. Je n’arrivais pas à me remettre complètement du surplus d’émotion vécus et de l’énergie perdu. Je ne comprenais rien et c’est alors que mes yeux s’ouvrirent que je vis mes parents, entourés par les instances diplomatiques, être présent. Leurs yeux reflétaient bien des choses, mais aucunes que je voulais voir. La peur, le dégout, la honte… aucune émotion de soutien ou d’amour. J’avais l’impression d’être un étranger. Une impression bien plus forte lorsque je vis les chaines autour de mes poignets solidement attachées au mur. D’après ce que je comprenais de leur charabia, ils m’accusèrent de sorcellerie, de magie noire et autre. Fils du diable, un démon qui sommeillait en puissance. Mon sort était jeté et sans que je ne puisse dire quoi que ce soit, la sentence avait été déclarée… Le Bucher m’attendait. Les yeux emplis de larmes, je leur demandais pardon. J’implorais la pitié tout en leur annonçant que je n’étais rien de ce qu’ils disaient. Que j’étais bel et bien leur fils. Le fils qu’ils avaient eu et chéris depuis la naissance. Mais c’était trop tard. Je n’étais qu’un démon qui avait pris part du corps de leur fils et leurs fils n’existait définitivement plus…



Il faisait bon, doux, chaud. Je me sentais étrangement bien et apaisé. Un sourire se dessinait sur mes lèvres alors que je voulais ouvrir les yeux. Mais ses derniers refusaient, préférant rester fermés et profiter de l’instant présent et de ce bien être que je ressentais. Était-ce ça la mort ? Je me le demandais… Tout avait l’air si réel, si vrai. Chaque odeur, chaque ressentis. Je sentais au loin un délicieux bouillon cuir dans une marmite de cuivre. J’arrivais même à distinguer le composant de la marmite… Que m’arrivait-il ? Me réveillant alors en sursaut, ouvrant grands mes yeux, je découvris une petite chambre douillette, dans laquelle mon frêle corps d’enfant reposait. Les couleurs étaient chaudes et les murs, tapissaient de rouge et de pourpre, accentuaient l’effet de chaleur et de confort se dégageant du lieu. Je sautillais sur mon lit, découvrant alors ce dernier où j’avais longuement dormis alors que des bruits de pas se rapprochaient de moi. Mes yeux se fixèrent sur la porte en chêne et vis cette dernière s’ouvrir. Un homme, bien bâtit et bien plus âgé que je ne l’étais, entra dans l’encadrement avant de me décrocher un sourire tendre, chaleureux. Rien, absolument rien de mauvais, ne se dégageait de lui. J’ignorais absolument tout de cet individus cependant je ressentais comme de la gentillesse et de la sincérité émaner de lui.
« Je vois que tu es enfin réveillé. As-tu bien dormis ? »
« Heu… oui très bien… » Répondis-je avec hésitation
« Mets toi à l’aise je t’en pris. Tu es ici chez toi. Enfin… pour quelques jours seulement. »
« Qu… qui êtes-vous ? » m’autorisais-je, après une seconde ou deux d’hésitation, à lui demander. Un sourire s’afficha sur ses lèvres et se dernier se présenta dans une courtoisie dont je n’avais jamais eu droit.
« Veuillez pardonner cet oublie. Je me nomme Godric Gryffindor. Enchanté de faire votre connaissance. »
« Ezeckiel … Enchanté de même… Je… qu’est-ce qui s’est passé ? Ne devrais-je pas être mort ? »
S’approchant de moi, il s’installa sur une chaise bordé de cuir épais, l’air relativement confortable, avant de croiser les mains et de réfléchir quelques instant. L’air songeur, cherchant les mots juste.
« Tu aurais dû oui. Mais j’en ai décidé autrement. Toutes personnes, toutes créatures, à droit de vie sur cette Terre. Et cela vaut aussi pour ceux qui, comme toi, comme moi, possèdent quelques… particularités. » Finit-il avec un sourire en coin, me laissant dans un flou total.
« Des… particularités ? Comment ça ? »
« Tu es un sorcier Ezeckiel. Comme moi. Et comme beaucoup d’autre. Tu es simplement né dans une famille ne possédant aucune particularité pour la magie. Mise à part toi. Mais tu es un sorcier et d’après ce que j’ai pu voir lors de cette attaque… un puissant sorcier en devenir. »
Cette révélation me frappa en plein fouet comme un coup dans le foie. Bouche bée, yeux écarquillaient, j’avalais difficilement la nouvelle et eu du mal à croire ce que cet homme me disait. Il me montra alors, faisant voler quelques objets, en faisant disparaître d’autres etc… je n’en revenais pas. Et d’après lui, j’avais des dispositions pour la magie également. Il me conta alors pendant de longues heures, l’histoire de sa famille, l’histoire de la magie. Je l’écoutais, n’en perdant pas une miette, avalant ses paroles comme s’il s’agissait du messie.

Plusieurs jours étaient passés depuis ce que je qualifiais désormais de Renaissance, où j’avais étudié quelque peu l’histoire générale de la magie et notre monde, de mon nouveau monde, alors que Sir Gryffindor m’annonçait qu’il ne pouvait plus s’occuper de moi. Qu’il avait d’importantes affaires à régler et que j’allais désormais habiter sous le toit d’amis proche dont il avait entièrement confiance. La nouvelle me peinait quelque peu. En quelques jours seulement, je m’étais rapidement accroché à lui. Il était mon sauveur et mon mentor. Cependant, je pouvais avoir confiance à la famille qu’il avait choisit. Acceptant alors sa proposition, n’ayant de toute manière pas le choix, je quittais avec lui la demeure dans laquelle nous étions pour atterrir, comme par magie allais-je dire, devant une maison qui ressemblait étrangement à une tanière de paille. Je regardais le tas de foin, dubitatif et inquiet alors que mon mentor souriait, m’entraînant dans l’entrée de ce qui allait être ma nouvelle demeure. La surprise fut de taille lorsque, entrant dans ce tas de foin, je vis apparaître sous mes yeux une demeure exceptionnellement grande. Un sourire d’émerveillement se dessina sur mes lèvres alors que je découvrais stupéfait ce que la magie pouvait nous réserver. « J’adore… » Soufflais-je alors pour moi-même, ce qui eu pour effet de faire rire doucement Gryffindor et son ami qui nous avait rejoint. Il me souhaita la bienvenue et m’accueillit comme s’il accueillait un fils. Cette sensation était étrange. Je n’avais jamais ressentis autant d’attachement et de plaisir envers ma personne comme c’était le cas aujourd’hui. Comme c’était le cas depuis ma Renaissance. Sir Gryffindor s’en allant, je fis donc connaissance avec ma nouvelle famille et avec leur immense maison dans laquelle j’allais désormais vivre. Chaleureuse, aimante, avec le cœur sur la main, cette famille m’accueillit les bras grand ouvert ce qui eu pour effet de me faire me sentir rapidement chez moi. Ils m’apprirent tous ce qu’il y avait à apprendre sur la magie, l’Histoire de la magie, les sorts, les potions, tous… Enfin, tous ce qu’ils pouvaient apprendre en tant que parents.

Cela faisait maintenant huit ans que je vivais avec ma nouvelle famille. Huit ans durant lesquelles je m’étais totalement épanouie et avais débuté une toute nouvelle vie, acceptant sans rechigner ma nature et apprenant à la maîtriser du mieux que je le pouvais. J’avais une sœur, du même âge que moi, avec laquelle je m’entendais extrêmement bien. Nous nous ressemblions en tout point et nous protégions mutuellement, chacun couvrant l’autre lors de bêtises que nous pouvions faire. C’est simple, beaucoup de personne nous considérait souvent comme des jumeaux. Et pour moi, il n’y avait pas meilleur compliment que de recevoir celui-ci. Car depuis mon arrivé, elle avait tout fait pour que je me sente bien dans cette famille et je considérais cette dernière comme étant réellement une sœur jumelle, de part nos ressemblances et nos gouts similaires. Une vie qui s’étoffa le jour où, ma sœur et moi, reçûmes une lettre de Hogwarts. Affichant un sourire immense quand à l’aventure qui nous attendait, nous partîmes avec nos parents rapidement faire les achats demandés, attendant avec impatience le jour de notre entrée au château.



Le jour que nous attendions depuis quelques temps arriva enfin. Je m’en souviens encore grandement. Après un au revoir assez émouvant avec nos parents, nous partîmes, avec bon nombre d’autres enfants, en direction du lieu qui allait nous abriter durant toute une partie de l’année. Un lieu mystique où l’apprentissage de la magie régnait. Un lieu fait pour nous, qui nous permettrait de nous épanouir et d’apprendre à maîtriser nos dons et pouvoirs. Excité par ceci, c’est avec un émerveillement des plus grands que je pénétrais dans l’enceinte du lieu. Tout était si… magique. Si formidable que l’excitation ne passa pas, bien au contraire. Enchanté comme pratiquement la plupart des jeunes adolescents arrivant avec nous dans les lieux, nous découvrîmes doucement la salle principale où un buffet digne des plus grands Rois que le monde ait connu nous attendait. Nous installant donc à la demande des professeurs, nous les écoutâmes avec une attention exceptionnelle, doublement émerveillé par ce qu’ils nous annonçaient. L’apprentissage s’avérait exceptionnelle, je le savais déjà et fus ravi de le découvrir les années qui suivirent. Je passais les années sans trop de difficulté, aimant apprendre et expérimenter les choses tout en vivant dans un cadre serein comme je l’avais toujours désiré. La gêne que je ressentais à l’époque vis-à-vis de ma famille de moldu était à présent bien lointaine car dans ce château, j’étais désormais comme tous les autres jeunes de mon âge. Un sorcier.


A été condamné à mort, au bucher, à l'âge de 7 ans pour sorcellerie.
A été sauvé par Gryffindor lui-même
A vécu le reste de sa vie avec une nouvelle famille, des sorciers, qui lui ont donné son nom de famille Van Santeen
A reçu un Faucon comme cadeau d'entrée à Hogwarts
A une sœur adoptive qu'il considère comme sa jumelle.
A du se battre à l'âge de 13 ans contre des Trolls qui menaçaient son habitation
A flirté avec beaucoup de fille au château sans trouver la perle rare.
Se fait souvent traiter de sang de bourbe, ce qui lui vaut de se jeter rapidement dans diverse ennuis.
{vous raconterez ici diverses anecdotes à propos de votre personnages, minimum cinq, maximum dix.}

Lors de votre arrivée à Poudlard, quel était votre état d'esprit ? - Un peu de peur de découvrir un nouveau lieu mais rapidement balayé par l’excitation et le plaisir qui m’envahissait. La famille dans laquelle j’avais vécu le reste de ma vie m’avait parlé de ce lieu magique qui allait m’accueillir et m’apprendre encore plus sur la magie et mes dons que ce que j’apprenais déjà avec eux. Cette envie de connaissance, d’expérience, étaient telles que j’étais heureux et émerveillé de découvrir ce lieu fantastique.
À quoi pensez-vous que votre enseignement magique vous mènera ? - Je pense que l’enseignement magique que je recevrai m’aidera à canaliser et maitriser le pouvoir que je possède. En connaître ses fondements, ses sources, ses forces et faiblesses pour l’apprivoiser, le contrôler et le maîtriser, de façon à servir la communauté magique sans faille et avec un entrain toujours présent.
Quel est votre cours préféré ? - J'aime bien à peu près tous les cours enseignés cependant, le Maniement des Armes et la Magies Noire sortent du lot pour moi. J'aime apprendre à maîtriser toutes sortes de choses et comprendre la Magie Noire est pour moi fondamentale dans mon but de protéger mes semblables de ceux la maîtrisant.
Imaginons qu'un de vos amis ait de graves problèmes et que, pour y faire face, il doive se rendre en plein coeur de la Forêt Noire. L'y accompagnerez-vous? - L’amitié est pour moi quelque chose de fort et de puissant. Un lien indéfectible que je donne et qui par conséquent, me ferais battre n’importe quel ennemi pour que mes amis puissent s’en sortir. Si mon ami à besoin de se rendre dans la forêt interdite pour faire face aux graves problèmes qu’il rencontre, je l’accompagnerais sans aucune crainte, dans l’espoir de l’aider et de lui prêter main forte. Je ne pourrais pas rester les bras croisés dans mon coin à attendre patiemment qu’il revienne sans savoir ce qu’il se passe. Je préfère me battre à ses cotés.
Quelle sont votre sortilège et votre potion favoris ? - Sortilège préféré : DRACONIFORS
Potion préférée : Elixir Éternel
Comment vous occupez-vous lors de votre temps libre ? - Lors de mes temps libres ? J’aime bien profiter de mes amis, passer du temps avec eux, que ce soit pour s’amuser et déconner ou encore pour travailler. Travailler ensemble tel ou tel matière, débattre d’un sujet ou d’un autre, montrer ses points de vus, les faires comprendre mais aussi et surtout, s’entraîner sur les sortilèges appris pour s’améliorer toujours. En gros, passer du temps avec mes amis pour solidifier notre amitié est pour moi quelque chose d’important.
Que pensez-vous des moldus ? - Je n’ai pas eu de rapport véritablement bon avec eux pour en penser que du bien. Ses derniers ont tout de même essayé de me tuer alors que je n’étais qu’un petit enfant. Cependant, aujourd’hui, je ne leur en tiens pas rigueur. Je sais qu’il est dans la nature de l’homme d’être hostile envers les choses qu’ils ne comprennent pas. Cela à toujours était ainsi et en serra certainement toujours. Les Moldus sont des humains vivant sur cette Terre comme toute autre créature. Nous n’avons juste qu’à apprendre à vivre en cohabitation avec eux, rien de plus. Ils méritent de vivre.
Supposons qu'un professeur vous donne trois pages de parchemin à écrire pour la semaine prochaine et que, échéance arrivée, vous n'en avez fait que deux. Travaillerez-vous toute la nuit afin de terminer le travail demandé ou irez vous dormir sur vos deux oreilles pendant dix heures ? - Tout dépend de mon état à ce moment précis. Je pourrais très bien, si l’envie est forte, travailler une bonne partie de la nuit pour finir le devoir demander, sinon, je pourrais travailler quelques minutes et ensuite aller me coucher pour passer une bonne nuit. Un travail loupé n’est rien si on sait le rattraper par la suite
Quel est votre lieu préféré à Poudlard ? - Sans conteste, je pense au Lac. Me poser au bord du Lac, dans un silence de plomb, laissant simplement la faune et la flore s’exprimer est un endroit pour moi calme, reposant et enivrant. Je m’y sens bien et m’y rend dès que possible, pour me ressourcer et me recentrer sur moi, mes ambitions, mon entourage. Sur ma vie tout simplement.
Quels livres avez-vous l'habitude d'emprunter à la bibliothèque ? - En fait, j’emprunte très rarement des livres à la bibliothèque. J’y vais, j’étudie et y travail, mais je ressors rarement avec un bouquin sous le coude. Je préfère utiliser ceux de mes amis qui le font, profitant de cela pour travailler dans ma chambre si le besoin s’en fait sentir mais tout ceci est rarement le cas. Sans vouloir me jeter des roses, j’arrive très facilement à finir mon travail rapidement durant mes heures d’études à la bibliothèque si bien que je suis ensuite libre de faire ce que je veux.
Quelle est la place du sorcier dans le monde? - La même place que n’importe quelle autre créature dans le monde. Je ne saurais dire quoi mais je ne nous pense pas supérieur aux autres. Nous avons des particularités, certes, mais comme toutes créatures vivant sur cette Terre, nous cohabitons avec les autres et faisons notre vie.

PSEUDO, PRÉNOM - ezio
ÂGE, SEXE - vingtaine, M
TU AS LU LE RÈGLEMENT ? - yep
AVATAR - Tyler Hoechlin
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? - par une membre du staff
ET QU'EN PENSES-TU ? - J'aime sinon je ne serai pas là
UN COMMENTAIRE ? - nope