[La qualité est largement discutable, je suis désolée. Je peine un peu à me remettre dans le bain du rp, je l'avoue. Mais promis, je vais essayer de faire mieux ]

Depuis son réveil, Cyrielle ne se sentait pas bien. Lorsqu’elle s’était levée, il lui semblait qu’un troupeau d’Hippogriffe lui avait marché dessus. Elle arrivait difficilement a restée debout malgré tout ses efforts. Cependant ce jour là elle avait cours donc elle devait assurée. Elle mit difficilement son uniforme et ses chaussures avant de descendre pour déjeuner. Elle entra dans la grande salle et toute les odeurs qui l’assaillirent, l’arrêtèrent dans sa marche vars sa table. Rien que les effluves de la nourriture lui retournèrent l’estomac. Elle se retourna donc, essayant de paraître normal, alla chercher ses affaires de la matinée et attendit patiemment que les cours commence. Elle espérait qu’elle irait mieux avec le temps.

Le cours de potion se passa comme à son habitude, elle fit exploser deux chaudrons, cassa quatre fioles et renversa la moitié de ses ingrédients. Bref un cours de potion habituel, ne serait ce que les odeurs assez fortes lui donnèrent envie de vomir pendant toute la classe. Après ce magnifique cours donné par Abaddon. Elle se dirigea vers les serres pour son cours de faune et flore. Cette fois ci, il n’y eut aucune odeur qui la prit à la gorge seulement des vertiges de temps à autres. Mais le cours se passa relativement bien à son humble avis.

Lorsqu’elle remonta rangée ses affaires, elle se sentait beaucoup mieux. De nouveau souriant, elle se dirigea vers la grande salle pour son premier repas de la journée. Elle était tellement heureuse qu’elle en sautillait presque de joie. Elle poussa les lourds battants de la porte et alla s’asseoir à sa place. Elle avait hâte de manger. Cependant lorsque le repas apparut, son sourire, lui, disparut. Elle mit sa main devant sa bouche et sortit de la grande salle le plus vite possible en essayant de ne pas attirer l’attention, mais bon, elle voyait du coin de l’œil que Lynortis faisait office de dispersion.

Elle grimpa les marches quatre à quatre, ce qui est plutôt difficile avec une robe. C’était dans ces moments là qu’elle regrettait sa tenue de combat que son père lui avait confectionné lorsqu’elle était plus jeune afin qu’elle soit plus à l’aise lorsqu’elle essayait de grimper aux arbres.

Elle déboula comme une furie dans les toilettes du deuxième étage et vomit tout ce qu’elle avait dans le ventre, c'est-à-dire pas grand-chose. Une fois la crise passée, elle se releva, se dirigea vers les lavabos, se passa un coup d’eau sur le visage et se rinça la bouche. Elle détestait être malade, dans ces moments là elle se sentait vulnérable.

Alors qu’elle allait sortir, une jeune femme entra, Lynortis Selwyn, une connaissance de Cyrielle. Cela faisait cinq ans qu’elles se voyaient à Poudlard mais elles ne s’étaient adressé la parole qu’en fin de l’année dernière. La Serpentard voulait quelque chose et avait demandé à la Poufsouffle de lui apporter. Cette dernière lui avait répondue non et sous le regard choqué de la vipère, était partie rejoindre ses amis qui l’attendaient un peu plus loin. Et depuis ce jour là elle ne l’avait plus revu étant donné que les vacances d’été étaient arrivées à grande allure.

Cependant au grand malheur de Cyrielle, il fallait qu’elles se recroisent le jour où elle se sentait pas bien. Quelque part elle devait être maudite. De plus elle avait réfléchi trop longtemps avant de tenter de s’enfuir parce que la brune lui adressait la parole alors qu’elle nettoyait toujours son vêtement.


« Nous n'avons pas eu le temps de nous expliquer l'année dernière, Vertval. Tu ne fuyais pas tes responsabilités tout de même, hm ? »

Le ton employer l’a fit frissonner, elle aurait du s’en douter que la Serpentard n’avait toujours pas digérer ses paroles. De plus, cette dernière attaquait fort. Si seulement, Cyrielle se sentait un peu mieux, elle était presque sur de se sortir de ce mauvais pas sans trop d’égratignures, cependant ce n’était pas le cas. Mais malgré ce fait elle n’allait pas se laisser abattre. Après tout c’était comme un combat à l’épée, qu’importe la puissance de l’adversaire, c’était l’esprit qui gagnait le combat.

« Moi ? Fuir ? Ca se voit que tu me connais très mal Selwyn. Cependant je ne vois pas en quoi tu voulais que nous nous expliquions. L’année dernière je t’ai dis non puis c’est tout. Tu ne vas pas non plus faire ta princesse choquée. »

Cyrielle ne comprenait pas les gens qui ne savaient pas acceptée la réalité. Elle les trouvait immature.

Des vertiges la prirent mais elle fit comme si ne rien était, fixant son interlocutrice à travers la miroir au dessus du lavabo.

« Bref, si tu n’as rien d’autre à me dire, je te pris de m’excuser. »

Elle allait commencer à partir lorsque tout tourna vraiment autour d’elle. La poufsouffle ferma les yeux, essayant de garder un tant soi peu l’équilibre devant la Serpentard. Pas question de lui montrer sa faiblesse.


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Lorsque Cyrielle entendit les pas de la Serpentard se rapprocher, elle referma les yeux doucement. Cette fois ci ce n’était pas à cause de son mal être mais plutôt de l’obstination de la brune. Elle ne pouvait pas la laisser tranquille aujourd’hui ? Pendant quatre ans, elles ne s’étaient pas adressées la parole une seule fois, jusqu’à l’année dernière. Elle avait juste prononcé le mot non et maintenant elle se retrouvait dans cette situation. Elle soupira si seulement les Serpentard n’était pas aussi rancunier, elle serait tranquillement à l’infirmerie en train de prendre une potion pour sa maladie. Au moins elle pouvait espérer que la sixième année attrape son virus.

Lorsqu’elle fut à sa hauteur, Cyrielle commença à avoir des frissons. Ce n’était vraiment pas le moment de lâcher car elle avait un serpent à faire cuire. Elle leva les yeux vers son ainée qui essayait de se faire plus impressionnante de part sa taille mais cela ne marchait pas avec la jeune Poufsouffle après tout elle avait affronté des hommes lors de combats à l’épée et plusieurs avaient mordu la poussière. Alors ce n’était pas une fille qui se prenait pour le centre du monde qui allait lui faire peur.

« Je n'en ai pas terminé avec toi, Vertval. »

La blonde leva les yeux au ciel, étant donné que la Serpentard s’était rapprochée d’elle avec son air je suis meilleure que les autres, elle savait qu’elle n’était pas sortie d’affaire. Elle retint difficilement la réplique qui voulait sortir de sa bouche mais elle se dit que ce n’était pas le bon moment pour provoquées la verte et argent.

Lorsqu’elle commença à tourner autour de Cyrielle, cette dernière eut du mal à ne pas avoir le tournis. Le choc de ses talons contre le sol martelait ses pauvres oreilles qui n’en avaient pas demandées autant. Elle attendait patiemment que Selwyn est fait son petit tour comme un chien lorsqu’il est curieux. Elle pouffa discrètement en pensant à cette comparaison. Elle imagina la Serpentard avec une queue de chien qui reniflait de ci de là en quête d’un os à rogner. Son rire fut de plus en plus difficile à contenir.

Cependant elle se tut de suite alors que la brune se penchait vers elle.

« As-tu déjà goûté aux tendres entrailles de la Magie Noire ? Les as-tu explorés dans toutes leurs délicieuses cavités ? As-tu seulement eu l'extase jouissance de te perdre dans son dédale mystérieux ? »

De nouveaux des frissons la prirent, elle espérait qu’ils soient imperceptibles aux yeux de la sixième année. Après que sa petite crise soit passée elle fit attention aux paroles prononcées quelques secondes auparavant. Elle écarquilla les yeux et tourna sa tête lentement vers la brune pour ne pas avoir de vertige à ce moment précis.

« Tu n’oserais pas ? »

En faîte elle connaissait déjà la réponse, vu le caractère de Selwyn. Elle commençait à avoir peur mais elle n’allait pas abandonner.

« Tu sais, pour être franche tu peux faire ce que tu veux de moi. J’en ai strictement rien à faire. Cependant c’est à tes risques et périls car je suis malade si tu l’aurais pas remarqué, par conséquent j’ai peur que ta petite personne attrape ma maladie. »

Elle plaqua sa main sur son front, elle commençait à avoir de la fièvre et elle ne serait pas en mesure de supporter un sort de magie noir. Elle espérait que la brune en face d’elle soit dégoûtée et parte sans dire un mot. Comme ça elle pourrait reprendre leur altercation plus tard lorsqu’elle aurait la totalité de ses moyens ce qui n’était pas le cas en ce moment. Ce qui serait encore mieux aux yeux de Cyrielle, s’était que la Serpentard parte, très mais alors très loin d’ici et qu’elle ne revienne plus jamais. Mais malheureusement c’était un de ses nombreux rêves. Bon là, elle commençait vraiement à l’énerver. Pourquoi elle restait plantée là ?

« Maintenant s’il te plait tu t’en vas sinon je te vomis dessus. Ah non mais attends, c’est ton boulot de nettoyer Serpillère. Sérieusement ton obstination est digne d’un Griffondor alors maintenant vas voir ailleurs ! »

Cyrielle commençait à perdre patience. Elle voulait bien joué cinq minutes mais là elle n’était vraiment pas d’humeur.


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Elle doutait quand même que sa réplique n’allait pas faire grand-chose. Après tout elle commençait à la cerner la Serpentard. Elle fermait son cœur à toute chose qui ne serait pas dites pas sa famille. Elle avait érigé une barrière qui ferait mourir d’envie un château fort. Bien sûr, elles ne se connaissaient pas assez pour pouvoir allez plus loin dans ses analyses et puis la blonde n’avait pas que ça à faire pour l’instant.

« Allons, allons ma chère, pourquoi tant de hargne ? Je te trouve bien insolente et indisciplinée. Serait-ce donc l'immonde impureté de ta race qui te conduit à tant de dégénérescence ? Ou dois-je tout simplement de rappeler à quelle forme de respect tu dois t'abandonner vis-à-vis d'un être au sang noble et de surcroît ton aînée ? »


Alors là Cyrielle en avait vraiment marre, elle ne se sentait pas bien et en plus ce serpent osait lui parler de pureté de sang et autre chose complètement grotesque pour elle. Déjà qu’elle devait subir sa position de femme dans la société elle devrait en plus la domination d’une fille d’un an son ainée et qui parle de sang noble et patati et patata. Elle avait encore plus envie de vomir. Si seulement la brune était un homme… Elle aurait pu utiliser ses pouvoirs de Vélane sur lui et serait partie à l’infirmerie. Malheureusement pour la blonde Selwyn n’était pas un homme mais une fille, sadique de surcroit.

« Je vais te proposer une solution à notre différent. Disons qu'aujourd'hui est mon jour de magnanimité, et que dans ma bonté suprême, je vais t'accorder une chance d'acheter mon pardon. Je pense qu'il me serait possible d'oublier notre petit désaccord de l'année passée, si tu capitules aujourd'hui. »


Qu’est ce qu’elle disait ? Sadique… Bref ce n’était pas le moment de dire des vérités, elle avait de plus gros problèmes comme comment s’échapper tout en gardant sa fierté ? Il était bien sur hors de question qu’elle accepte la proposition de la brune. Avec son esprit plutôt tordue, elle n’allait de toute façon pas s’en sortir vivante. Son jour magnanimité ? Quelle plaisanterie !

Elle retint son estomac encore une fois, elle ne savait pas si elle serait capable de s’échapper, vu son état elle en doutait. Mais d’un autre côté subir les attaques de serpent de Selwyn ne l’enchantait guère. Elle ferma les yeux pour mieux réfléchir et pour essayer d’arrêter le mal de tête qui pointait son nez. Que devait-elle faire ? Abandonnée sa dignité qu’elle avait durement gagnée et se mettre au service de cette face de serpent ou devait elle s’enfuir comme une lâche ? Elle ouvrit les yeux pour tomber dans le regard bleu électrique de la Serpentard. Elle y vit une lueur qui la fit trembler de la tête au pied.

« Hum… Navré de te dire ça mais je pense que je vais décliner ta si généreuse offre. »

Sans réfléchir plus, elle se jeta sur Selwyn, poussa de toutes ses forces la Serpentard trop choquée pour réagir puis prit ses jambes à son cou et courra la plus vite possible. Elle ne regardait pas du tout ou elle allait, elle avait bine trop peur du Serpent qui devait avoir reprit ses esprits maintenant. Sa tête se faisait de plus en plus lourde, elle commençait à avoir de plus en plus mal dans ses muscles comme des courbatures. Cependant elle fit tout son possible pour rester debout et courir. Avec un peu de chance la brune aurait bien trop de fierté pour courir. Elle l’espérait beaucoup car ses jambes avaient décidée de ne plus suivre et elle se retrouvait étaler de tout son long au milieu du couloir de marbre. Heureusement qu’il n’y avait personne.

Elle devait quand même être vraiment maudite dans une autre vie car malgré son mal de tête qui lui vrillait les tympans, elle entendit des talons claquer sur le sol froid. Elle ferma les yeux. Pitié que ce ne soit pas son pire cauchemar.

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Cyrielle ferma les yeux de toutes ses forces alors que le bruit des talons se rapprochait. Elle voulut pleurer alors que ces dernier claquait juste à coter. Sans crier gare elle sentit la poigne de la Serpentard lui serrer l’avant bras. La jeune Poufsouffle retint un cri de souffrance alors que son envie de vomir la reprenait.

« Drôle de manière de préserver ton honneur, Vertval. Je crois qu'il aurait été plus raisonnable d'accepter mon dilemme. Je suis convaincue que tu y aurais perdu moins de dignité. »


Des larmes commencèrent à envahir ses yeux. La blonde en avait marre de toute cette histoire, elle voulait juste allez se reposer dans sa chambre et attendre que sa maladie passe. Elle n’en avait rien à faire de sa dignité elle n’était ni à Serpentard, ni à Griffondor. Elle, elle était plutôt connue pour son caractère loyal et farceur de temps en temps. Elle ne faisait de mal à personne même si des fois elle utilisait ses dons de demi-vélane pour qu’on lui fasse une corvée mais ce n’était pas méchant. Ce n’était pas de sa faute si elle ne voulait pas être enchainée ni dans une pièce, ni à quelqu’un. Pour elle tous les moyens étaient bons.

« Je crois que pour ton propre bien, une bonne leçon s'impose. Avec un peu de chance, lorsque j'en aurais terminé avec toi, tu retrouveras le peu de jugeote dont tu as hérité. La lâcheté est un défaut vraiment honteux jeune fille, alors laisse-moi t'aider à te laver de cette humiliation... à ma manière. »


La jeune fille avait peur de comprendre les paroles de sa camarade. Elle la savait terrifiante et dangereuse pour avoir déjà lancée des sorts pas très nets sur d’autres élèves les années précédentes. Et lorsqu’elle lui avait dis non l’année dernière, elle se sentait capable d’éviter ce genre de situation. Malheureusement, il fallait que ça tombe un jour où elle ne se sentait pas bien et maintenant voilà le résultat. Cependant pour rien au monde elle se laissera dominer par une femme. Alors elle ouvrit les yeux déterminée à affronter Selwyn.

Le choc du sort fut plutôt dur pour la jeune Poufsouffle en plus de sa voix un peu enroué à cause des sanglots qui voulaient sortir, son souffle se vida sous la douleur qui suivit les paroles de la Serpentard. Elle essayait de prendre le maximum d’air mais il y avait un blocage comme si quelque chose bloquait à l’intérieur d’elle-même. Elle ne saurait dire où exactement. Une violente quinte de toux la prit alors qu’elle essayait toujours de prendre tout l’air à disposition.

Elle voulait que la douleur cesse que tout se termine quitte à mourir. Elle ne voulait pas être prisonnière. L’étau qui l’enserrait était son bourreau. Elle ne voulait plus souffrir… Mais elle ne voulait pas offrir cette joie à la brune. Il en était hors de question qu’elle abandonne sans se battre un minimum. Cependant elle ne pouvait plus bouger pour économiser son précieux oxygène. Elle devait attendre une erreur de la part du serpent qui commençait vraiment à taper sur les nerfs de Cyrielle.

Cette faute arriva lorsque Selwyn décida de relâcher son sort. En quelques secondes elle reprit sa respiration normale et laissa la chaleur s’infiltrer par les pores de sa peau. A chaque fois qu’elle le faisait c’était toujours les mêmes sensations qui se faisaient sentir. D’abord la chaleur puis des fourmis ensuite des picotements qui la chatouillaient. Elle sourit avant de serrer les dents. C’était maintenant que ça allait vraiment commencer, une douleur cuisante se fit à la place de ses omoplates. Elles avaient toujours l’impression que ses os se cassaient nets. Ses ongles poussèrent à une vitesse vertigineuse et un picotement apparut sur ses rétines. Sa robe se déchira alors que deux grandes ailes grises sortirent de son dos.

Une fois ces dernières totalement sorties, elle ouvrit les yeux. Ses iris autrefois vertes étaient maintenant d’une couleur or rappelant les aigles des montagnes. Ses ongles étaient devenus de puissantes serres qui étaient aussi effilée que la lame d’une épée. Ses ailes totalement grises rappelaient les doux orages d’automnes.

Cyrielle battit des ailes pour voir si tout fonctionnait comme elle le voudrait puis sourit à Selwyn.

« Tu disais, petit serpent ? »


Question totalement bête mais qui faisait jubiler la demi-vélane. Pour la première fois de la journée elle avait l’impression d’être supérieur aux autres. C’était une sensation qu’elle aimait bien mais elle n’en abusait pas car elle aimait aussi être comme les autres. Elle s’étira le plus possible essayant de retrouver l’usage de tous ses muscles. Sa maladie plus le sort les avaient beaucoup affaiblis.

« Bon maintenant passons aux choses sérieuses veux tu ? Je ne sais pas si tu as remarqué mais moi je suis polie. Mais bon nous ne sommes pas là pour te faire un court sur la politesse qui est du à une dame. Je laisse à tes parents le soin de le faire. »


Elle s’avança vert le vert et argent tout en bougeant ses doits d’une manière menaçante. Elle n’avait peut être pas son épée à porter de mains mais elle avait les moyens génétiques qui remplaçaient parfaitement ce petit défaut. Enfin pas vraiment des moyens génétiques étant donnés que c'est sa mère qui lui avait apprit se sort d'illusion propre au vélane. Certes ce n'était qu'une illusion mais elle espérait vraiment que ça suffise à éloigner la Sepentard pendant un bon moment. Après tout seul les vélanes et les demi-vélanes connaissaient ce sort et encore elle n'en était pas sûr.

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